Deuxième force évolutive : la sélection naturelle

Si un allèle particulier augmente les "chances de reproduction" d'un individu, cet allèle bénéfique a plus de chances de se propager aux générations suivantes. À l'inverse, un allèle délétère qui réduit la capacité de reproduction d'un individu aura moins de chances d'être transmis à la génération suivante.

On prend donc en compte ici la capacité d'un individu à survivre dans un environnement, à trouver un partenaire, à prendre soin de ses descendants, c'est-à-dire finalement la possibilité de transmettre "son ADN", c'est-à-dire ses allèles.